Au moment de la disparition de Siham, Namir n’a pas compris qu’elle était partie pour toujours. Dans l’esprit d’un enfant, les mamans sont immortelles… Pour garder sa mémoire vivante, Namir enquête sur son histoire familiale entre l’Égypte et la France. Avec le cinéma de Youssef Chahine comme compagnon, une histoire d’exil et surtout d’amour se dessine.
Le film est présenté à l’ACID au Festival de Cannes 2025.
Namir Abdel Messeeh, né en 1974 de parents coptes égyptiens et français, est réalisateur et scénariste formé à la FEMIS.
Après des courts-métrages remarqués (Toi, Waguih, Quelque chose de mal), il se fait connaître avec La Vierge, les Coptes et moi en 2011, mêlant enquête intime et humour.
Son cinéma explore identité, mémoire et transmission. Il signe aujourd’hui La Vie après Siham, récit personnel sur le deuil et les liens familiaux.
Au moment de la disparition de Siham, Namir n’a pas compris qu’elle était partie pour toujours. Dans l’esprit d’un enfant, les mamans sont immortelles…
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